RD 178 - Doublement et aménagement d'une voie réservée

Faisons la route ensemble !

Étape 4 sur 4

Bilan de la concertation 17/07/2024 - 18/09/2024

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Changements sur "Favoriser le E de REC et éviter au maximum !"

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-["Il existe sur les bords actuels de la RD des haies centenaires et composées de toutes les strates favorables à l'accueil de la biodiversité.Si la politique de plantation » permet de créer « environ 3 000 kilomètres » de haies par an en France, le bilan reste négatif au vu des destructions qui se poursuivent. Aussi, si l’accent est souvent mis sur la création de nouvelles haies, il convient avant tout de mieux protéger le linéaire existant. Cela est valable partout en général et dans ce projet en particulier. La méthode ERC mises en avant dans le livret de concertation débute par l'Évitement Aussi tout doit être fait pour éviter la destruction des haies et les conserver. L'association milite pour la conservation des haies en place, qui dont les fonctionnalités sont établies et qui mettront des dizaines d'années à être égalées par de nouvelles plantations. La destruction d'une haie est une perte immédiate et sa compensation n'est qu'un pari sur l'avenir. La conservation des haies doit être le maître mot de ce projet.\n\nDes passages à faune sous la future route seront nécessaires pour permettre le passage de la faune vertébrée non volante. Par exemple à hauteur de Thubert, se trouve un étang, des bois et des zones humides, de tels passage y seraient utiles. Sur le tronçon d'autres aménagements de ce type sont certainement à envisager afin de limiter les collisions et la mortalité routière de la faune vertébrée.\n\nEnfin, si l'accent semble mis sur l'œdicnème trouvé nicheur dans les rangs de salades d'un maraîcher industriel. Ce n'est pas son lieu de nidification privilégié, loin de là ; et bien que bénéficiant d'un statut particulier en Pays de la Loire et bien qu'il faille bien entendu préserver cette espèce, elle ne doit pas faire oublier tout le cortège des espèces qui présentent des tendances défavorables en termes de conservation et qu'il est tout aussi important de conserver : Bruant Jaune, Serin cini, Chardonneret élégant, Tarier pâtre, Verdier d'Europe, Linotte mélodieuse.\n\nLors des travaux tout doit également être mis en œuvre pour préserver au maximum la faune et la flore dans l'emprise du projet. Un effort de prospection aurait pu être fait à la fois sur les arbres à cavités pour les chiroptères mais aussi sur le bâti inclus dans la zone du projet à la fois pour les chiroptères et l'avifaune mais aussi d'autres taxons comme l'herpetofaune."]
+["Il existe sur les bords actuels de la RD des haies centenaires et composées de toutes les strates favorables à l'accueil de la biodiversité.Si la politique de plantation » permet de créer « environ 3 000 kilomètres » de haies par an en France, le bilan reste négatif au vu des destructions qui se poursuivent. Aussi, si l’accent est souvent mis sur la création de nouvelles haies, il convient avant tout de mieux protéger le linéaire existant. Cela est valable partout en général et dans ce projet en particulier. La méthode ERC mises en avant dans le livret de concertation débute par l'Évitement Aussi tout doit être fait pour éviter la destruction des haies et les conserver. L'association milite pour la conservation des haies en place, qui dont les fonctionnalités sont établies et qui mettront des dizaines d'années à être égalées par de nouvelles plantations. La destruction d'une haie est une perte immédiate et sa compensation n'est qu'un pari sur l'avenir. La conservation des haies doit être le maître mot de ce projet.\n\nDes passages à faune sous la future route seront nécessaires pour permettre le passage de la faune vertébrée non volante. Par exemple à hauteur de Thubert, se trouve un étang, des bois et des zones humides, de tels passage y seraient utiles. Sur le tronçon d'autres aménagements de ce type sont certainement à envisager afin de limiter les collisions et la mortalité routière de la faune vertébrée.\n\nEnfin, si l'accent semble mis sur l'œdicnème trouvé nicheur dans les rangs de salades d'un maraîcher industriel. Ce n'est pas son lieu de nidification privilégié, loin de là ; et bien que bénéficiant d'un statut particulier en Pays de la Loire et bien qu'il faille bien entendu préserver cette espèce, elle ne doit pas faire oublier tout le cortège des espèces qui présentent des tendances défavorables en termes de conservation et qu'il est tout aussi important de conserver : Bruant Jaune, Serin cini, Chardonneret élégant, Tarier pâtre, Verdier d'Europe, Linotte mélodieuse.\n\nLors des travaux tout doit également être mis en œuvre pour préserver au maximum la faune et la flore dans l'emprise du projet. Un effort de prospection aurait pu être fait à la fois sur les arbres à cavités pour les chiroptères mais aussi sur le bâti inclu dans la zone du projet à la fois pour les chiroptères et l'avifaune, mais aussi d'autres taxons comme l'herpetofaune."]

-["Il existe sur les bords actuels de la RD des haies centenaires et composées de toutes les strates favorables à l'accueil de la biodiversité.Si la politique de plantation » permet de créer « environ 3 000 kilomètres » de haies par an en France, le bilan reste négatif au vu des destructions qui se poursuivent. Aussi, si l’accent est souvent mis sur la création de nouvelles haies, il convient avant tout de mieux protéger le linéaire existant. Cela est valable partout en général et dans ce projet en particulier. La méthode ERC mises en avant dans le livret de concertation débute par l'Évitement Aussi tout doit être fait pour éviter la destruction des haies et les conserver. L'association milite pour la conservation des haies en place, qui dont les fonctionnalités sont établies et qui mettront des dizaines d'années à être égalées par de nouvelles plantations. La destruction d'une haie est une perte immédiate et sa compensation n'est qu'un pari sur l'avenir. La conservation des haies doit être le maître mot de ce projet.
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-Des passages à faune sous la future route seront nécessaires pour permettre le passage de la faune vertébrée non volante. Par exemple à hauteur de Thubert, se trouve un étang, des bois et des zones humides, de tels passage y seraient utiles. Sur le tronçon d'autres aménagements de ce type sont certainement à envisager afin de limiter les collisions et la mortalité routière de la faune vertébrée.
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-Enfin, si l'accent semble mis sur l'œdicnème trouvé nicheur dans les rangs de salades d'un maraîcher industriel. Ce n'est pas son lieu de nidification privilégié, loin de là ; et bien que bénéficiant d'un statut particulier en Pays de la Loire et bien qu'il faille bien entendu préserver cette espèce, elle ne doit pas faire oublier tout le cortège des espèces qui présentent des tendances défavorables en termes de conservation et qu'il est tout aussi important de conserver : Bruant Jaune, Serin cini, Chardonneret élégant, Tarier pâtre, Verdier d'Europe, Linotte mélodieuse.
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-Lors des travaux tout doit également être mis en œuvre pour préserver au maximum la faune et la flore dans l'emprise du projet. Un effort de prospection aurait pu être fait à la fois sur les arbres à cavités pour les chiroptères mais aussi sur le bâti inclus dans la zone du projet à la fois pour les chiroptères et l'avifaune mais aussi d'autres taxons comme l'herpetofaune."]
+["Il existe sur les bords actuels de la RD des haies centenaires et composées de toutes les strates favorables à l'accueil de la biodiversité.Si la politique de plantation » permet de créer « environ 3 000 kilomètres » de haies par an en France, le bilan reste négatif au vu des destructions qui se poursuivent. Aussi, si l’accent est souvent mis sur la création de nouvelles haies, il convient avant tout de mieux protéger le linéaire existant. Cela est valable partout en général et dans ce projet en particulier. La méthode ERC mises en avant dans le livret de concertation débute par l'Évitement Aussi tout doit être fait pour éviter la destruction des haies et les conserver. L'association milite pour la conservation des haies en place, qui dont les fonctionnalités sont établies et qui mettront des dizaines d'années à être égalées par de nouvelles plantations. La destruction d'une haie est une perte immédiate et sa compensation n'est qu'un pari sur l'avenir. La conservation des haies doit être le maître mot de ce projet.
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+Des passages à faune sous la future route seront nécessaires pour permettre le passage de la faune vertébrée non volante. Par exemple à hauteur de Thubert, se trouve un étang, des bois et des zones humides, de tels passage y seraient utiles. Sur le tronçon d'autres aménagements de ce type sont certainement à envisager afin de limiter les collisions et la mortalité routière de la faune vertébrée.
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+Enfin, si l'accent semble mis sur l'œdicnème trouvé nicheur dans les rangs de salades d'un maraîcher industriel. Ce n'est pas son lieu de nidification privilégié, loin de là ; et bien que bénéficiant d'un statut particulier en Pays de la Loire et bien qu'il faille bien entendu préserver cette espèce, elle ne doit pas faire oublier tout le cortège des espèces qui présentent des tendances défavorables en termes de conservation et qu'il est tout aussi important de conserver : Bruant Jaune, Serin cini, Chardonneret élégant, Tarier pâtre, Verdier d'Europe, Linotte mélodieuse.
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+Lors des travaux tout doit également être mis en œuvre pour préserver au maximum la faune et la flore dans l'emprise du projet. Un effort de prospection aurait pu être fait à la fois sur les arbres à cavités pour les chiroptères mais aussi sur le bâti inclu dans la zone du projet à la fois pour les chiroptères et l'avifaune, mais aussi d'autres taxons comme l'herpetofaune."]

Suppressions

-["Il existe sur les bords actuels de la RD des haies centenaires et composées de toutes les strates favorables à l'accueil de la biodiversité.Si la politique de plantation » permet de créer « environ 3 000 kilomètres » de haies par an en France, le bilan reste négatif au vu des destructions qui se poursuivent. Aussi, si l’accent est souvent mis sur la création de nouvelles haies, il convient avant tout de mieux protéger le linéaire existant. Cela est valable partout en général et dans ce projet en particulier. La méthode ERC mises en avant dans le livret de concertation débute par l'Évitement Aussi tout doit être fait pour éviter la destruction des haies et les conserver. L'association milite pour la conservation des haies en place, qui dont les fonctionnalités sont établies et qui mettront des dizaines d'années à être égalées par de nouvelles plantations. La destruction d'une haie est une perte immédiate et sa compensation n'est qu'un pari sur l'avenir. La conservation des haies doit être le maître mot de ce projet.\n\nDes passages à faune sous la future route seront nécessaires pour permettre le passage de la faune vertébrée non volante. Par exemple à hauteur de Thubert, se trouve un étang, des bois et des zones humides, de tels passage y seraient utiles. Sur le tronçon d'autres aménagements de ce type sont certainement à envisager afin de limiter les collisions et la mortalité routière de la faune vertébrée.\n\nEnfin, si l'accent semble mis sur l'œdicnème trouvé nicheur dans les rangs de salades d'un maraîcher industriel. Ce n'est pas son lieu de nidification privilégié, loin de là ; et bien que bénéficiant d'un statut particulier en Pays de la Loire et bien qu'il faille bien entendu préserver cette espèce, elle ne doit pas faire oublier tout le cortège des espèces qui présentent des tendances défavorables en termes de conservation et qu'il est tout aussi important de conserver : Bruant Jaune, Serin cini, Chardonneret élégant, Tarier pâtre, Verdier d'Europe, Linotte mélodieuse.\n\nLors des travaux tout doit également être mis en œuvre pour préserver au maximum la faune et la flore dans l'emprise du projet. Un effort de prospection aurait pu être fait à la fois sur les arbres à cavités pour les chiroptères mais aussi sur le bâti inclus dans la zone du projet à la fois pour les chiroptères et l'avifaune mais aussi d'autres taxons comme l'herpetofaune."]

Ajouts

+["Il existe sur les bords actuels de la RD des haies centenaires et composées de toutes les strates favorables à l'accueil de la biodiversité.Si la politique de plantation » permet de créer « environ 3 000 kilomètres » de haies par an en France, le bilan reste négatif au vu des destructions qui se poursuivent. Aussi, si l’accent est souvent mis sur la création de nouvelles haies, il convient avant tout de mieux protéger le linéaire existant. Cela est valable partout en général et dans ce projet en particulier. La méthode ERC mises en avant dans le livret de concertation débute par l'Évitement Aussi tout doit être fait pour éviter la destruction des haies et les conserver. L'association milite pour la conservation des haies en place, qui dont les fonctionnalités sont établies et qui mettront des dizaines d'années à être égalées par de nouvelles plantations. La destruction d'une haie est une perte immédiate et sa compensation n'est qu'un pari sur l'avenir. La conservation des haies doit être le maître mot de ce projet.\n\nDes passages à faune sous la future route seront nécessaires pour permettre le passage de la faune vertébrée non volante. Par exemple à hauteur de Thubert, se trouve un étang, des bois et des zones humides, de tels passage y seraient utiles. Sur le tronçon d'autres aménagements de ce type sont certainement à envisager afin de limiter les collisions et la mortalité routière de la faune vertébrée.\n\nEnfin, si l'accent semble mis sur l'œdicnème trouvé nicheur dans les rangs de salades d'un maraîcher industriel. Ce n'est pas son lieu de nidification privilégié, loin de là ; et bien que bénéficiant d'un statut particulier en Pays de la Loire et bien qu'il faille bien entendu préserver cette espèce, elle ne doit pas faire oublier tout le cortège des espèces qui présentent des tendances défavorables en termes de conservation et qu'il est tout aussi important de conserver : Bruant Jaune, Serin cini, Chardonneret élégant, Tarier pâtre, Verdier d'Europe, Linotte mélodieuse.\n\nLors des travaux tout doit également être mis en œuvre pour préserver au maximum la faune et la flore dans l'emprise du projet. Un effort de prospection aurait pu être fait à la fois sur les arbres à cavités pour les chiroptères mais aussi sur le bâti inclu dans la zone du projet à la fois pour les chiroptères et l'avifaune, mais aussi d'autres taxons comme l'herpetofaune."]

Suppressions

-["Il existe sur les bords actuels de la RD des haies centenaires et composées de toutes les strates favorables à l'accueil de la biodiversité.Si la politique de plantation » permet de créer « environ 3 000 kilomètres » de haies par an en France, le bilan reste négatif au vu des destructions qui se poursuivent. Aussi, si l’accent est souvent mis sur la création de nouvelles haies, il convient avant tout de mieux protéger le linéaire existant. Cela est valable partout en général et dans ce projet en particulier. La méthode ERC mises en avant dans le livret de concertation débute par l'Évitement Aussi tout doit être fait pour éviter la destruction des haies et les conserver. L'association milite pour la conservation des haies en place, qui dont les fonctionnalités sont établies et qui mettront des dizaines d'années à être égalées par de nouvelles plantations. La destruction d'une haie est une perte immédiate et sa compensation n'est qu'un pari sur l'avenir. La conservation des haies doit être le maître mot de ce projet.
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-Des passages à faune sous la future route seront nécessaires pour permettre le passage de la faune vertébrée non volante. Par exemple à hauteur de Thubert, se trouve un étang, des bois et des zones humides, de tels passage y seraient utiles. Sur le tronçon d'autres aménagements de ce type sont certainement à envisager afin de limiter les collisions et la mortalité routière de la faune vertébrée.
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-Enfin, si l'accent semble mis sur l'œdicnème trouvé nicheur dans les rangs de salades d'un maraîcher industriel. Ce n'est pas son lieu de nidification privilégié, loin de là ; et bien que bénéficiant d'un statut particulier en Pays de la Loire et bien qu'il faille bien entendu préserver cette espèce, elle ne doit pas faire oublier tout le cortège des espèces qui présentent des tendances défavorables en termes de conservation et qu'il est tout aussi important de conserver : Bruant Jaune, Serin cini, Chardonneret élégant, Tarier pâtre, Verdier d'Europe, Linotte mélodieuse.
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-Lors des travaux tout doit également être mis en œuvre pour préserver au maximum la faune et la flore dans l'emprise du projet. Un effort de prospection aurait pu être fait à la fois sur les arbres à cavités pour les chiroptères mais aussi sur le bâti inclus dans la zone du projet à la fois pour les chiroptères et l'avifaune mais aussi d'autres taxons comme l'herpetofaune."]

Ajouts

+["Il existe sur les bords actuels de la RD des haies centenaires et composées de toutes les strates favorables à l'accueil de la biodiversité.Si la politique de plantation » permet de créer « environ 3 000 kilomètres » de haies par an en France, le bilan reste négatif au vu des destructions qui se poursuivent. Aussi, si l’accent est souvent mis sur la création de nouvelles haies, il convient avant tout de mieux protéger le linéaire existant. Cela est valable partout en général et dans ce projet en particulier. La méthode ERC mises en avant dans le livret de concertation débute par l'Évitement Aussi tout doit être fait pour éviter la destruction des haies et les conserver. L'association milite pour la conservation des haies en place, qui dont les fonctionnalités sont établies et qui mettront des dizaines d'années à être égalées par de nouvelles plantations. La destruction d'une haie est une perte immédiate et sa compensation n'est qu'un pari sur l'avenir. La conservation des haies doit être le maître mot de ce projet.
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+Des passages à faune sous la future route seront nécessaires pour permettre le passage de la faune vertébrée non volante. Par exemple à hauteur de Thubert, se trouve un étang, des bois et des zones humides, de tels passage y seraient utiles. Sur le tronçon d'autres aménagements de ce type sont certainement à envisager afin de limiter les collisions et la mortalité routière de la faune vertébrée.
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+Enfin, si l'accent semble mis sur l'œdicnème trouvé nicheur dans les rangs de salades d'un maraîcher industriel. Ce n'est pas son lieu de nidification privilégié, loin de là ; et bien que bénéficiant d'un statut particulier en Pays de la Loire et bien qu'il faille bien entendu préserver cette espèce, elle ne doit pas faire oublier tout le cortège des espèces qui présentent des tendances défavorables en termes de conservation et qu'il est tout aussi important de conserver : Bruant Jaune, Serin cini, Chardonneret élégant, Tarier pâtre, Verdier d'Europe, Linotte mélodieuse.
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+Lors des travaux tout doit également être mis en œuvre pour préserver au maximum la faune et la flore dans l'emprise du projet. Un effort de prospection aurait pu être fait à la fois sur les arbres à cavités pour les chiroptères mais aussi sur le bâti inclu dans la zone du projet à la fois pour les chiroptères et l'avifaune, mais aussi d'autres taxons comme l'herpetofaune."]

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ORIEUX

Version créée le 12/05/2024 17:26