RD 178 - Doublement et aménagement d'une voie réservée

Faisons la route ensemble !

Étape 4 sur 4

Bilan de la concertation 17/07/2024 - 18/09/2024

Voir les étapes

Changements sur "Décarbonons les schémas de pensée routiers, pensons d'abord éviter-réduire, service de bien commun"

Sélectionner le mode de vue :

Titre (entre 16 et 150 caractères)

+{"fr"=>"Décarbonons les schémas de pensée routiers, pensons d'abord éviter-réduire, service de bien commun"}

Corps du texte

+["Ah, quelle farce grotesque se joue sur les planches de nos routes ! Sous le masque du progrès, voici qu'apparaît le vrai visage hideux de la folie humaine. Un doublement de voies, une expansion bétonnée, tout ça pour quoi ? 11800 tonnes de CO2, voilà le tribut que nous devons payer pour un caprice d'asphalte de 3,3 kilomètres pour la seule \"partie Sud\" Tournebride-Viais; 28600 T en tout sur 8 km. Un chiffre qui défie toute décence. Est-ce là le prix que nous sommes prêts à payer pour une poignée de secondes gagnées dans nos trajets quotidiens ? Mais attention, ne soyons pas trop prompts à juger. Après tout, le CO2, c'est juste l'équivalent de l'empreinte carbone annuelle de 1500-3500 âmes à 8T/âme/an),juste une petite goutte dans l'océan de notre négligence environnementale. Peut-être devrions-nous juste l'ajouter à notre liste de courses, entre le lait et le pain, comme si cela n'avait aucune importance.\n\nEt que dire de ces chiffres qui dansent dans l'air, telles des marionnettes capricieuses ? On les manipule, on les tord dans tous les sens pour leur faire dire ce que l'on veut. Alors, Messieurs les décideurs, avez-vous seulement conscience de ce que vous faites ? \n\nOui à une voie réservée aux transports en communs (et à l'amélioration du service lié) sur une section utile, celle prévue, \noui à la limitation de vitesse, \noui à une étude de voie attribuée au covoiturage (en cas de deux voies dans le sens entrant, comme votre projet à Bouguenais sur la route de Pornic), \noui aux mesures complémentaires de sécurisation des échangeurs et des interdictions de doubler par une ligne continue renforcée (sur le principe de ce qui a été mis en place sur la route Nantes-Pornic),\nnon au doublement de la voie pour les véhicules individuels, à défaut doublons seulement la partie entrante en direction de l'A83 pour les trajets du matin et uniquement sur la partie Nord.\nERC ! Eviter Réduire, voilà des propositions de bon sens ! \n\nMéthode de calcul C02 :\nEn prenant en considération uniquement la partie Sud, de 3,3 km estimé, en tenant compte du bilan carbone établi par le CEREMA dans le cadre d'étude du doublement de voies entre Nantes et Pornic (estimation de 20000 T C02 sur un tracé 2*2 de 5,6 km entre Port St Père et le Pont Béranger), en extrapolant ces informations, avec un dégré d'erreur notable inhérent à la louche et aux ouvrages d'art, nous pouvons estimer grossièrement que le bilan d'un tracé 2*2 sur 3,3 km serait d'environ 11800 T C02 pour la construction, excluant de facto l'ajout carbone de consommation d'une vitesse prévue (selon le dossier de concertation à 110 km/h), ne tenant ici pas compte d'une évolution hypothétique du parc de véhicules ni du comportement des conducteurs, ni entretien.\n\nDésintoxication urgente à l'enrobé bitumeux demandé ! Enrobés = mélanges de granulats (graviers,sable) + bitume(liant hydrocarboné), fabriqués dans des usines d’enrobage. Moratoire routes.\nRappel analyse cycle vie, étapes production :\n* extraction+traitement des matières premières utilisées pour la production de l’enrobé; bitume ; granulats (massifs et alluvionnaires) ; agrégats d’enrobés ; autres matières premières utilisées dans la production de l’enrobé (filler, colorant, etc.),\n* transport des matières premières jusqu’aux sites de production d’enrobé,\n* production de l’enrobé incluant : consommations d’énergie pour le malaxeur, stockage du bitume, fonctionnement des engins ;\ndes consommations et rejets d’eau ; utilisation de consommables (huiles, dégrippants) ; transport et élimination des déchets ;\n* production et l’acheminement des matériaux et produits constituant les autres couches de la chaussée...\nL’étape d’utilisation (maintenance de la couche de surface), dont :\n* production, le transport et la mise en oeuvre des matériaux nécessaires à l’entretien de la chaussée (Enduit Superficiel d’Usure Monocouche et Béton Bitumineux Semi Grenu) ;\n* utilisation d’engins de chantier : raboteuse, niveleuse, compacteur mixte, répandeuse gravillonneur synchrone (PATA), finisseur, compacteur tandem et compacteur pneu ;\n* traitement des déchets générés, à savoir les fraisats d’enrobé\n\nLe rapport \"THE EUROBITUME LIFE-CYCLE INVENTORY FOR BITUMEN\" (par la voix du lobby du bitume lui-même, à relativiser) 1T bitume = conso 1115 L d'eau, env 1,2 T de pétrole brut, du gaz naturel, +207 kg eqCo2.\neurobitume.eu/fr/linventaire-du-cycle-de-vie-du-bitume/\n1m² de chaussée enrobé bitumineux faible trafic = 17 kg eqCo2, 2100 L eau,429MJ, Acidification sols et eau,Appauvrissement couche ozone,Epuisement ressources abiotiques,Eutrophisation,pollution eau/air...\nroutesdefrance.com/les-actions-de-la-profession/developpement-durable/analyse-du-cycle-de-vie-life-cycle-analysis/\nLien officiel du GIEC : https://www.ipcc.ch/report/ar6/wg3/, spécialement chapitre 10, section 4 \"Decarbonisation of land-based transport\""]

+["Ah, quelle farce grotesque se joue sur les planches de nos routes ! Sous le masque du progrès, voici qu'apparaît le vrai visage hideux de la folie humaine. Un doublement de voies, une expansion bétonnée, tout ça pour quoi ? 11800 tonnes de CO2, voilà le tribut que nous devons payer pour un caprice d'asphalte de 3,3 kilomètres pour la seule \"partie Sud\" Tournebride-Viais; 28600 T en tout sur 8 km. Un chiffre qui défie toute décence. Est-ce là le prix que nous sommes prêts à payer pour une poignée de secondes gagnées dans nos trajets quotidiens ? Mais attention, ne soyons pas trop prompts à juger. Après tout, le CO2, c'est juste l'équivalent de l'empreinte carbone annuelle de 1500-3500 âmes à 8T/âme/an),juste une petite goutte dans l'océan de notre négligence environnementale. Peut-être devrions-nous juste l'ajouter à notre liste de courses, entre le lait et le pain, comme si cela n'avait aucune importance.\n\nEt que dire de ces chiffres qui dansent dans l'air, telles des marionnettes capricieuses ? On les manipule, on les tord dans tous les sens pour leur faire dire ce que l'on veut. Alors, Messieurs les décideurs, avez-vous seulement conscience de ce que vous faites ? \n\nOui à une voie réservée aux transports en communs (et à l'amélioration du service lié) sur une section utile, celle prévue, \noui à la limitation de vitesse, \noui à une étude de voie attribuée au covoiturage (en cas de deux voies dans le sens entrant, comme votre projet à Bouguenais sur la route de Pornic), \noui aux mesures complémentaires de sécurisation des échangeurs et des interdictions de doubler par une ligne continue renforcée (sur le principe de ce qui a été mis en place sur la route Nantes-Pornic),\nnon au doublement de la voie pour les véhicules individuels, à défaut doublons seulement la partie entrante en direction de l'A83 pour les trajets du matin et uniquement sur la partie Nord.\nERC ! Eviter Réduire, voilà des propositions de bon sens ! \n\nMéthode de calcul C02 :\nEn prenant en considération uniquement la partie Sud, de 3,3 km estimé, en tenant compte du bilan carbone établi par le CEREMA dans le cadre d'étude du doublement de voies entre Nantes et Pornic (estimation de 20000 T C02 sur un tracé 2*2 de 5,6 km entre Port St Père et le Pont Béranger), en extrapolant ces informations, avec un dégré d'erreur notable inhérent à la louche et aux ouvrages d'art, nous pouvons estimer grossièrement que le bilan d'un tracé 2*2 sur 3,3 km serait d'environ 11800 T C02 pour la construction, excluant de facto l'ajout carbone de consommation d'une vitesse prévue (selon le dossier de concertation à 110 km/h), ne tenant ici pas compte d'une évolution hypothétique du parc de véhicules ni du comportement des conducteurs, ni entretien.\n\nDésintoxication urgente à l'enrobé bitumeux demandé ! Enrobés = mélanges de granulats (graviers,sable) + bitume(liant hydrocarboné), fabriqués dans des usines d’enrobage. Moratoire routes.\nRappel analyse cycle vie, étapes production :\n* extraction+traitement des matières premières utilisées pour la production de l’enrobé; bitume ; granulats (massifs et alluvionnaires) ; agrégats d’enrobés ; autres matières premières utilisées dans la production de l’enrobé (filler, colorant, etc.),\n* transport des matières premières jusqu’aux sites de production d’enrobé,\n* production de l’enrobé incluant : consommations d’énergie pour le malaxeur, stockage du bitume, fonctionnement des engins ;\ndes consommations et rejets d’eau ; utilisation de consommables (huiles, dégrippants) ; transport et élimination des déchets ;\n* production et l’acheminement des matériaux et produits constituant les autres couches de la chaussée...\nL’étape d’utilisation (maintenance de la couche de surface), dont :\n* production, le transport et la mise en oeuvre des matériaux nécessaires à l’entretien de la chaussée (Enduit Superficiel d’Usure Monocouche et Béton Bitumineux Semi Grenu) ;\n* utilisation d’engins de chantier : raboteuse, niveleuse, compacteur mixte, répandeuse gravillonneur synchrone (PATA), finisseur, compacteur tandem et compacteur pneu ;\n* traitement des déchets générés, à savoir les fraisats d’enrobé\n\nLe rapport \"THE EUROBITUME LIFE-CYCLE INVENTORY FOR BITUMEN\" (par la voix du lobby du bitume lui-même, à relativiser) 1T bitume = conso 1115 L d'eau, env 1,2 T de pétrole brut, du gaz naturel, +207 kg eqCo2.\neurobitume.eu/fr/linventaire-du-cycle-de-vie-du-bitume/\n1m² de chaussée enrobé bitumineux faible trafic = 17 kg eqCo2, 2100 L eau,429MJ, Acidification sols et eau,Appauvrissement couche ozone,Epuisement ressources abiotiques,Eutrophisation,pollution eau/air...\nroutesdefrance.com/les-actions-de-la-profession/developpement-durable/analyse-du-cycle-de-vie-life-cycle-analysis/\nLien officiel du GIEC : https://www.ipcc.ch/report/ar6/wg3/, spécialement chapitre 10, section 4 \"Decarbonisation of land-based transport\""]

Suppressions

Ajouts

+["Ah, quelle farce grotesque se joue sur les planches de nos routes ! Sous le masque du progrès, voici qu'apparaît le vrai visage hideux de la folie humaine. Un doublement de voies, une expansion bétonnée, tout ça pour quoi ? 11800 tonnes de CO2, voilà le tribut que nous devons payer pour un caprice d'asphalte de 3,3 kilomètres pour la seule \"partie Sud\" Tournebride-Viais; 28600 T en tout sur 8 km. Un chiffre qui défie toute décence. Est-ce là le prix que nous sommes prêts à payer pour une poignée de secondes gagnées dans nos trajets quotidiens ? Mais attention, ne soyons pas trop prompts à juger. Après tout, le CO2, c'est juste l'équivalent de l'empreinte carbone annuelle de 1500-3500 âmes à 8T/âme/an),juste une petite goutte dans l'océan de notre négligence environnementale. Peut-être devrions-nous juste l'ajouter à notre liste de courses, entre le lait et le pain, comme si cela n'avait aucune importance.\n\nEt que dire de ces chiffres qui dansent dans l'air, telles des marionnettes capricieuses ? On les manipule, on les tord dans tous les sens pour leur faire dire ce que l'on veut. Alors, Messieurs les décideurs, avez-vous seulement conscience de ce que vous faites ? \n\nOui à une voie réservée aux transports en communs (et à l'amélioration du service lié) sur une section utile, celle prévue, \noui à la limitation de vitesse, \noui à une étude de voie attribuée au covoiturage (en cas de deux voies dans le sens entrant, comme votre projet à Bouguenais sur la route de Pornic), \noui aux mesures complémentaires de sécurisation des échangeurs et des interdictions de doubler par une ligne continue renforcée (sur le principe de ce qui a été mis en place sur la route Nantes-Pornic),\nnon au doublement de la voie pour les véhicules individuels, à défaut doublons seulement la partie entrante en direction de l'A83 pour les trajets du matin et uniquement sur la partie Nord.\nERC ! Eviter Réduire, voilà des propositions de bon sens ! \n\nMéthode de calcul C02 :\nEn prenant en considération uniquement la partie Sud, de 3,3 km estimé, en tenant compte du bilan carbone établi par le CEREMA dans le cadre d'étude du doublement de voies entre Nantes et Pornic (estimation de 20000 T C02 sur un tracé 2*2 de 5,6 km entre Port St Père et le Pont Béranger), en extrapolant ces informations, avec un dégré d'erreur notable inhérent à la louche et aux ouvrages d'art, nous pouvons estimer grossièrement que le bilan d'un tracé 2*2 sur 3,3 km serait d'environ 11800 T C02 pour la construction, excluant de facto l'ajout carbone de consommation d'une vitesse prévue (selon le dossier de concertation à 110 km/h), ne tenant ici pas compte d'une évolution hypothétique du parc de véhicules ni du comportement des conducteurs, ni entretien.\n\nDésintoxication urgente à l'enrobé bitumeux demandé ! Enrobés = mélanges de granulats (graviers,sable) + bitume(liant hydrocarboné), fabriqués dans des usines d’enrobage. Moratoire routes.\nRappel analyse cycle vie, étapes production :\n* extraction+traitement des matières premières utilisées pour la production de l’enrobé; bitume ; granulats (massifs et alluvionnaires) ; agrégats d’enrobés ; autres matières premières utilisées dans la production de l’enrobé (filler, colorant, etc.),\n* transport des matières premières jusqu’aux sites de production d’enrobé,\n* production de l’enrobé incluant : consommations d’énergie pour le malaxeur, stockage du bitume, fonctionnement des engins ;\ndes consommations et rejets d’eau ; utilisation de consommables (huiles, dégrippants) ; transport et élimination des déchets ;\n* production et l’acheminement des matériaux et produits constituant les autres couches de la chaussée...\nL’étape d’utilisation (maintenance de la couche de surface), dont :\n* production, le transport et la mise en oeuvre des matériaux nécessaires à l’entretien de la chaussée (Enduit Superficiel d’Usure Monocouche et Béton Bitumineux Semi Grenu) ;\n* utilisation d’engins de chantier : raboteuse, niveleuse, compacteur mixte, répandeuse gravillonneur synchrone (PATA), finisseur, compacteur tandem et compacteur pneu ;\n* traitement des déchets générés, à savoir les fraisats d’enrobé\n\nLe rapport \"THE EUROBITUME LIFE-CYCLE INVENTORY FOR BITUMEN\" (par la voix du lobby du bitume lui-même, à relativiser) 1T bitume = conso 1115 L d'eau, env 1,2 T de pétrole brut, du gaz naturel, +207 kg eqCo2.\neurobitume.eu/fr/linventaire-du-cycle-de-vie-du-bitume/\n1m² de chaussée enrobé bitumineux faible trafic = 17 kg eqCo2, 2100 L eau,429MJ, Acidification sols et eau,Appauvrissement couche ozone,Epuisement ressources abiotiques,Eutrophisation,pollution eau/air...\nroutesdefrance.com/les-actions-de-la-profession/developpement-durable/analyse-du-cycle-de-vie-life-cycle-analysis/\nLien officiel du GIEC : https://www.ipcc.ch/report/ar6/wg3/, spécialement chapitre 10, section 4 \"Decarbonisation of land-based transport\""]

Suppressions

Ajouts

+["Ah, quelle farce grotesque se joue sur les planches de nos routes ! Sous le masque du progrès, voici qu'apparaît le vrai visage hideux de la folie humaine. Un doublement de voies, une expansion bétonnée, tout ça pour quoi ? 11800 tonnes de CO2, voilà le tribut que nous devons payer pour un caprice d'asphalte de 3,3 kilomètres pour la seule \"partie Sud\" Tournebride-Viais; 28600 T en tout sur 8 km. Un chiffre qui défie toute décence. Est-ce là le prix que nous sommes prêts à payer pour une poignée de secondes gagnées dans nos trajets quotidiens ? Mais attention, ne soyons pas trop prompts à juger. Après tout, le CO2, c'est juste l'équivalent de l'empreinte carbone annuelle de 1500-3500 âmes à 8T/âme/an),juste une petite goutte dans l'océan de notre négligence environnementale. Peut-être devrions-nous juste l'ajouter à notre liste de courses, entre le lait et le pain, comme si cela n'avait aucune importance.\n\nEt que dire de ces chiffres qui dansent dans l'air, telles des marionnettes capricieuses ? On les manipule, on les tord dans tous les sens pour leur faire dire ce que l'on veut. Alors, Messieurs les décideurs, avez-vous seulement conscience de ce que vous faites ? \n\nOui à une voie réservée aux transports en communs (et à l'amélioration du service lié) sur une section utile, celle prévue, \noui à la limitation de vitesse, \noui à une étude de voie attribuée au covoiturage (en cas de deux voies dans le sens entrant, comme votre projet à Bouguenais sur la route de Pornic), \noui aux mesures complémentaires de sécurisation des échangeurs et des interdictions de doubler par une ligne continue renforcée (sur le principe de ce qui a été mis en place sur la route Nantes-Pornic),\nnon au doublement de la voie pour les véhicules individuels, à défaut doublons seulement la partie entrante en direction de l'A83 pour les trajets du matin et uniquement sur la partie Nord.\nERC ! Eviter Réduire, voilà des propositions de bon sens ! \n\nMéthode de calcul C02 :\nEn prenant en considération uniquement la partie Sud, de 3,3 km estimé, en tenant compte du bilan carbone établi par le CEREMA dans le cadre d'étude du doublement de voies entre Nantes et Pornic (estimation de 20000 T C02 sur un tracé 2*2 de 5,6 km entre Port St Père et le Pont Béranger), en extrapolant ces informations, avec un dégré d'erreur notable inhérent à la louche et aux ouvrages d'art, nous pouvons estimer grossièrement que le bilan d'un tracé 2*2 sur 3,3 km serait d'environ 11800 T C02 pour la construction, excluant de facto l'ajout carbone de consommation d'une vitesse prévue (selon le dossier de concertation à 110 km/h), ne tenant ici pas compte d'une évolution hypothétique du parc de véhicules ni du comportement des conducteurs, ni entretien.\n\nDésintoxication urgente à l'enrobé bitumeux demandé ! Enrobés = mélanges de granulats (graviers,sable) + bitume(liant hydrocarboné), fabriqués dans des usines d’enrobage. Moratoire routes.\nRappel analyse cycle vie, étapes production :\n* extraction+traitement des matières premières utilisées pour la production de l’enrobé; bitume ; granulats (massifs et alluvionnaires) ; agrégats d’enrobés ; autres matières premières utilisées dans la production de l’enrobé (filler, colorant, etc.),\n* transport des matières premières jusqu’aux sites de production d’enrobé,\n* production de l’enrobé incluant : consommations d’énergie pour le malaxeur, stockage du bitume, fonctionnement des engins ;\ndes consommations et rejets d’eau ; utilisation de consommables (huiles, dégrippants) ; transport et élimination des déchets ;\n* production et l’acheminement des matériaux et produits constituant les autres couches de la chaussée...\nL’étape d’utilisation (maintenance de la couche de surface), dont :\n* production, le transport et la mise en oeuvre des matériaux nécessaires à l’entretien de la chaussée (Enduit Superficiel d’Usure Monocouche et Béton Bitumineux Semi Grenu) ;\n* utilisation d’engins de chantier : raboteuse, niveleuse, compacteur mixte, répandeuse gravillonneur synchrone (PATA), finisseur, compacteur tandem et compacteur pneu ;\n* traitement des déchets générés, à savoir les fraisats d’enrobé\n\nLe rapport \"THE EUROBITUME LIFE-CYCLE INVENTORY FOR BITUMEN\" (par la voix du lobby du bitume lui-même, à relativiser) 1T bitume = conso 1115 L d'eau, env 1,2 T de pétrole brut, du gaz naturel, +207 kg eqCo2.\neurobitume.eu/fr/linventaire-du-cycle-de-vie-du-bitume/\n1m² de chaussée enrobé bitumineux faible trafic = 17 kg eqCo2, 2100 L eau,429MJ, Acidification sols et eau,Appauvrissement couche ozone,Epuisement ressources abiotiques,Eutrophisation,pollution eau/air...\nroutesdefrance.com/les-actions-de-la-profession/developpement-durable/analyse-du-cycle-de-vie-life-cycle-analysis/\nLien officiel du GIEC : https://www.ipcc.ch/report/ar6/wg3/, spécialement chapitre 10, section 4 \"Decarbonisation of land-based transport\""]

Numéro de version 1 sur 2 Afficher toutes les versions Retourner à la proposition

Version créée le 11/04/2024 10:47