Itinéraire cyclable entre Couëron et Saint-Étienne-de-Montluc

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Consultation publique 05/12/2024 - 07/01/2025

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+{"fr"=>"Projet a minima et insuffisant"}

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+["Si le trajet 2 semble vraiment bien en terme de desserte, l'ensemble du projet souffre d'un manque d'ambition dans la lutte contre le réchauffement climatique et pire, dans la sécurisation des cyclistes.\n\nQuel que soit le trajet, il y a trop de voies partagées. Les cyclistes réguliers savent que nous ne sommes en sécurité que sur des voies cyclistes dédiées, et séparée par un talus ou une barrière en béton. Il est hors de question pour moi qui ait l'habitude des trajets Couëron-Nantes de cautionner ce projet. Le minimum minimorum est une trajet à 100% en voies cyclables dédiées, l'idéal étain d'y adjoindre une protection \"en dur\" indispensable sur les portions où la limite de vitesse pour les voitures est supérieure à 50km/h. Les voies partages ne sont tolérable que pour les axes 30km/h maximum. \nLes pistes dédiées ne protègent pas que des accidents involontaires, mais des agressions quotidiennes des automobilistes qui s'estiment gênés par les cyclistes ou qui confondent piste cyclable optionnelle et obligatoire. Parkings sauvages, queues de poissons et autre traversées de la bande cyclable devant un cycliste sont monnaie courante.\n\nPour les autoroutes, on n'hésite pas à exproprier des gens en les indemnisant a minima, au nom de l'intérêt commun. Mais l'autoroute, c'est le passé, ce n'est pas le projet d'avenir que nous souhaitons. Pourquoi les mêmes moyens ne sont-ils pas mis en œuvre pour la circulation locale, dont le vélo est un incontournable dans une vie respectueuse de la nature et du climat ?\nPour une route, on ne se demande étrangement jamais quel est le taux d'artificialisation des sols... \nQuand Nantes a bétonné tout le sol du quartier Commerce, personne ne s'est posé la question de l'artificialisation des sols, et des désagrément en cas de canicule / inondation...\nCe n'est pas quand on met en place un moyen de circuler localement écologique qu'il faut se poser la question de la place prendre sur des terrains privés et de l'artificialisation des sols. C'est quand on construit un aéroport, une nouvelle route pour les voiture, etc...\n\nPar ailleurs, n'oublions pas que même sur piste cyclable, les vélo doivent pouvoir se doubler en sécurité.\nJe ne vois pas non plus d'élément sur la signalisation. Le code de la route par défaut est défavorable aux cyclistes. Ils doivent bénéficier d'une signalisation dédiée pour traverser les carrefours en anticipation des véhicules. L'accidentologie aux carrefours et sur les voies partagées mettent en évidence que le respect strict d'une signalisation non aménagée (i.e le cycliste démarre au vert comme les véhicules motorisés et s'arrête au rouge en même temps) expose les cyclistes à des accidents mortels avec les poids lourds, et en majorité les femmes (cf https://www.liberation.fr/france/2019/04/24/comment-sont-tues-les-cyclistes-a-paris_1722899/).\n\nDonc donnez-nous une piste cyclable dédiée su l'intégralité du trajet 2. Stop à l'hypocrisie. La circulation cyclable est un enjeu majeur des localités de demain et doit être une priorité. Prenons les 2 mètres nécessaire sur les terrains le long du trajet, on peut le faire sans prendre sur les jardins / habitations.\n\nIl existe des modèles qui marchent ailleurs, notamment aux Pays-Bas, nous pouvons aussi nous en inspirer.\n\nJe suis donc contre le projet en l'état, pour que je donne un avis favorable il faudra que ce soit le trajet 2 mais 100% en piste cyclable, avec protection en dur sur les sections où la limite de vitesse est supérieure à 50km/h."]

+["Si le trajet 2 semble vraiment bien en terme de desserte, l'ensemble du projet souffre d'un manque d'ambition dans la lutte contre le réchauffement climatique et pire, dans la sécurisation des cyclistes.\n\nQuel que soit le trajet, il y a trop de voies partagées. Les cyclistes réguliers savent que nous ne sommes en sécurité que sur des voies cyclistes dédiées, et séparée par un talus ou une barrière en béton. Il est hors de question pour moi qui ait l'habitude des trajets Couëron-Nantes de cautionner ce projet. Le minimum minimorum est une trajet à 100% en voies cyclables dédiées, l'idéal étain d'y adjoindre une protection \"en dur\" indispensable sur les portions où la limite de vitesse pour les voitures est supérieure à 50km/h. Les voies partages ne sont tolérable que pour les axes 30km/h maximum. \nLes pistes dédiées ne protègent pas que des accidents involontaires, mais des agressions quotidiennes des automobilistes qui s'estiment gênés par les cyclistes ou qui confondent piste cyclable optionnelle et obligatoire. Parkings sauvages, queues de poissons et autre traversées de la bande cyclable devant un cycliste sont monnaie courante.\n\nPour les autoroutes, on n'hésite pas à exproprier des gens en les indemnisant a minima, au nom de l'intérêt commun. Mais l'autoroute, c'est le passé, ce n'est pas le projet d'avenir que nous souhaitons. Pourquoi les mêmes moyens ne sont-ils pas mis en œuvre pour la circulation locale, dont le vélo est un incontournable dans une vie respectueuse de la nature et du climat ?\nPour une route, on ne se demande étrangement jamais quel est le taux d'artificialisation des sols... \nQuand Nantes a bétonné tout le sol du quartier Commerce, personne ne s'est posé la question de l'artificialisation des sols, et des désagrément en cas de canicule / inondation...\nCe n'est pas quand on met en place un moyen de circuler localement écologique qu'il faut se poser la question de la place prendre sur des terrains privés et de l'artificialisation des sols. C'est quand on construit un aéroport, une nouvelle route pour les voiture, etc...\n\nPar ailleurs, n'oublions pas que même sur piste cyclable, les vélo doivent pouvoir se doubler en sécurité.\nJe ne vois pas non plus d'élément sur la signalisation. Le code de la route par défaut est défavorable aux cyclistes. Ils doivent bénéficier d'une signalisation dédiée pour traverser les carrefours en anticipation des véhicules. L'accidentologie aux carrefours et sur les voies partagées mettent en évidence que le respect strict d'une signalisation non aménagée (i.e le cycliste démarre au vert comme les véhicules motorisés et s'arrête au rouge en même temps) expose les cyclistes à des accidents mortels avec les poids lourds, et en majorité les femmes (cf https://www.liberation.fr/france/2019/04/24/comment-sont-tues-les-cyclistes-a-paris_1722899/).\n\nDonc donnez-nous une piste cyclable dédiée su l'intégralité du trajet 2. Stop à l'hypocrisie. La circulation cyclable est un enjeu majeur des localités de demain et doit être une priorité. Prenons les 2 mètres nécessaire sur les terrains le long du trajet, on peut le faire sans prendre sur les jardins / habitations.\n\nIl existe des modèles qui marchent ailleurs, notamment aux Pays-Bas, nous pouvons aussi nous en inspirer.\n\nJe suis donc contre le projet en l'état, pour que je donne un avis favorable il faudra que ce soit le trajet 2 mais 100% en piste cyclable, avec protection en dur sur les sections où la limite de vitesse est supérieure à 50km/h."]

Suppressions

Ajouts

+["Si le trajet 2 semble vraiment bien en terme de desserte, l'ensemble du projet souffre d'un manque d'ambition dans la lutte contre le réchauffement climatique et pire, dans la sécurisation des cyclistes.\n\nQuel que soit le trajet, il y a trop de voies partagées. Les cyclistes réguliers savent que nous ne sommes en sécurité que sur des voies cyclistes dédiées, et séparée par un talus ou une barrière en béton. Il est hors de question pour moi qui ait l'habitude des trajets Couëron-Nantes de cautionner ce projet. Le minimum minimorum est une trajet à 100% en voies cyclables dédiées, l'idéal étain d'y adjoindre une protection \"en dur\" indispensable sur les portions où la limite de vitesse pour les voitures est supérieure à 50km/h. Les voies partages ne sont tolérable que pour les axes 30km/h maximum. \nLes pistes dédiées ne protègent pas que des accidents involontaires, mais des agressions quotidiennes des automobilistes qui s'estiment gênés par les cyclistes ou qui confondent piste cyclable optionnelle et obligatoire. Parkings sauvages, queues de poissons et autre traversées de la bande cyclable devant un cycliste sont monnaie courante.\n\nPour les autoroutes, on n'hésite pas à exproprier des gens en les indemnisant a minima, au nom de l'intérêt commun. Mais l'autoroute, c'est le passé, ce n'est pas le projet d'avenir que nous souhaitons. Pourquoi les mêmes moyens ne sont-ils pas mis en œuvre pour la circulation locale, dont le vélo est un incontournable dans une vie respectueuse de la nature et du climat ?\nPour une route, on ne se demande étrangement jamais quel est le taux d'artificialisation des sols... \nQuand Nantes a bétonné tout le sol du quartier Commerce, personne ne s'est posé la question de l'artificialisation des sols, et des désagrément en cas de canicule / inondation...\nCe n'est pas quand on met en place un moyen de circuler localement écologique qu'il faut se poser la question de la place prendre sur des terrains privés et de l'artificialisation des sols. C'est quand on construit un aéroport, une nouvelle route pour les voiture, etc...\n\nPar ailleurs, n'oublions pas que même sur piste cyclable, les vélo doivent pouvoir se doubler en sécurité.\nJe ne vois pas non plus d'élément sur la signalisation. Le code de la route par défaut est défavorable aux cyclistes. Ils doivent bénéficier d'une signalisation dédiée pour traverser les carrefours en anticipation des véhicules. L'accidentologie aux carrefours et sur les voies partagées mettent en évidence que le respect strict d'une signalisation non aménagée (i.e le cycliste démarre au vert comme les véhicules motorisés et s'arrête au rouge en même temps) expose les cyclistes à des accidents mortels avec les poids lourds, et en majorité les femmes (cf https://www.liberation.fr/france/2019/04/24/comment-sont-tues-les-cyclistes-a-paris_1722899/).\n\nDonc donnez-nous une piste cyclable dédiée su l'intégralité du trajet 2. Stop à l'hypocrisie. La circulation cyclable est un enjeu majeur des localités de demain et doit être une priorité. Prenons les 2 mètres nécessaire sur les terrains le long du trajet, on peut le faire sans prendre sur les jardins / habitations.\n\nIl existe des modèles qui marchent ailleurs, notamment aux Pays-Bas, nous pouvons aussi nous en inspirer.\n\nJe suis donc contre le projet en l'état, pour que je donne un avis favorable il faudra que ce soit le trajet 2 mais 100% en piste cyclable, avec protection en dur sur les sections où la limite de vitesse est supérieure à 50km/h."]

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+["Si le trajet 2 semble vraiment bien en terme de desserte, l'ensemble du projet souffre d'un manque d'ambition dans la lutte contre le réchauffement climatique et pire, dans la sécurisation des cyclistes.\n\nQuel que soit le trajet, il y a trop de voies partagées. Les cyclistes réguliers savent que nous ne sommes en sécurité que sur des voies cyclistes dédiées, et séparée par un talus ou une barrière en béton. Il est hors de question pour moi qui ait l'habitude des trajets Couëron-Nantes de cautionner ce projet. Le minimum minimorum est une trajet à 100% en voies cyclables dédiées, l'idéal étain d'y adjoindre une protection \"en dur\" indispensable sur les portions où la limite de vitesse pour les voitures est supérieure à 50km/h. Les voies partages ne sont tolérable que pour les axes 30km/h maximum. \nLes pistes dédiées ne protègent pas que des accidents involontaires, mais des agressions quotidiennes des automobilistes qui s'estiment gênés par les cyclistes ou qui confondent piste cyclable optionnelle et obligatoire. Parkings sauvages, queues de poissons et autre traversées de la bande cyclable devant un cycliste sont monnaie courante.\n\nPour les autoroutes, on n'hésite pas à exproprier des gens en les indemnisant a minima, au nom de l'intérêt commun. Mais l'autoroute, c'est le passé, ce n'est pas le projet d'avenir que nous souhaitons. Pourquoi les mêmes moyens ne sont-ils pas mis en œuvre pour la circulation locale, dont le vélo est un incontournable dans une vie respectueuse de la nature et du climat ?\nPour une route, on ne se demande étrangement jamais quel est le taux d'artificialisation des sols... \nQuand Nantes a bétonné tout le sol du quartier Commerce, personne ne s'est posé la question de l'artificialisation des sols, et des désagrément en cas de canicule / inondation...\nCe n'est pas quand on met en place un moyen de circuler localement écologique qu'il faut se poser la question de la place prendre sur des terrains privés et de l'artificialisation des sols. C'est quand on construit un aéroport, une nouvelle route pour les voiture, etc...\n\nPar ailleurs, n'oublions pas que même sur piste cyclable, les vélo doivent pouvoir se doubler en sécurité.\nJe ne vois pas non plus d'élément sur la signalisation. Le code de la route par défaut est défavorable aux cyclistes. Ils doivent bénéficier d'une signalisation dédiée pour traverser les carrefours en anticipation des véhicules. L'accidentologie aux carrefours et sur les voies partagées mettent en évidence que le respect strict d'une signalisation non aménagée (i.e le cycliste démarre au vert comme les véhicules motorisés et s'arrête au rouge en même temps) expose les cyclistes à des accidents mortels avec les poids lourds, et en majorité les femmes (cf https://www.liberation.fr/france/2019/04/24/comment-sont-tues-les-cyclistes-a-paris_1722899/).\n\nDonc donnez-nous une piste cyclable dédiée su l'intégralité du trajet 2. Stop à l'hypocrisie. La circulation cyclable est un enjeu majeur des localités de demain et doit être une priorité. Prenons les 2 mètres nécessaire sur les terrains le long du trajet, on peut le faire sans prendre sur les jardins / habitations.\n\nIl existe des modèles qui marchent ailleurs, notamment aux Pays-Bas, nous pouvons aussi nous en inspirer.\n\nJe suis donc contre le projet en l'état, pour que je donne un avis favorable il faudra que ce soit le trajet 2 mais 100% en piste cyclable, avec protection en dur sur les sections où la limite de vitesse est supérieure à 50km/h."]

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Version créée le 17/12/2024 15:03