Nantes-Pornic : quelle route pour demain ?
#nantes-pornic Du 21 septembre au 4 novembre 2020, informez-vous et donnez votre avis !
Non favorable au doublement complet - post 1
Découvrant que les contributions sont limitées à 5000 caractères, il y aura plusieurs posts à suivre et la pièce jointe associée dans chaque post.
Post 1 :
Point de départ, j'ai lu avec attention les contributions postées sur la plateforme de participation. Je remercie le département et l'etat d'avoir mis en place cette concertation pour ce projet estimé à 130 millions d'euros.
Ce à quoi j'assiste depuis plus de 10 ans maintenant, c'est un essor démographique très important qui implique, de part les besoins de chacun, beaucoup de déplacements, essentiellement en voiture, or, je ne vois pas un entretien plus important de nos voiries, celles-ci se dégradent. Riverains, nous perdons en qualité d'infrastructures. Merci d'entretenir qualitativement l'existant avant toute construction et de consacrer un peu de budget (80 millions d'euros annuel au niveau du département).
Nous assistons, dans nos campagnes, à la dégradation de nos voies de circulation, à la difficulté, particuliers et agriculteurs à les traverser chaque jour, uniquement du fait de la densification du traffic (voitures et camions). Chaque communue a une responsbilité importante dans ses choix d'urbanisation et une action coordonnée au niveau du territoire est indispensable. Des axes de travail sont entrepris dans ce sens et il faut continuer.
On assiste à des bouchons quotidiens au niveau du périphérique, de cheviré, de bouguenais, de bouaye. Où sont les bus collectifs et trams-trains avec des rotations rapides pour desservir ce bassin d'emploi principal (83%) ? Cette perte de temps est importante pour les travailleurs dont l'amplitude horaire s'étend. Les familles sont également mise à contribution. Le constat que nous faisons, c'est que chaque année, riverains du pays de retz, nous perdons 15 min le matin. Aujourd'hui, il faut y être à 7h. Les bouffées d'airs sont certains mercredis, les vacances scolaires et estivales quand le traffic s'allège. Je ne compte pas les bouchons du soir... Pouvons-nous organiser le travail de certaines professions de manière différente ? J'y crois et j'espère beaucoup la fin des migrations aux portes de la métropôle. A mon niveau, j'ai cessé d'aller travailler sur la métropôle car difficile d'assurer à son patron d'arriver à l'heure à mon poste en ayant pourtant prévu une marge de sécurité. J'ai fait des concessions importantes. Les efforts doivent être concentrés là où sont les problèmes de traffic.
Point de départ, j'ai lu avec attention les contributions postées sur la plateforme de participation. Je remercie le département et l'etat d'avoir mis en place cette concertation pour ce projet estimé à 130 millions d'euros.
Ce à quoi j'assiste depuis plus de 10 ans maintenant, c'est un essor démographique très important qui implique, de part les besoins de chacun, beaucoup de déplacements, essentiellement en voiture, or, je ne vois pas un entretien plus important de nos voiries, celles-ci se dégradent. Riverains, nous perdons en qualité d'infrastructures. Merci d'entretenir qualitativement l'existant avant toute construction et de consacrer un peu de budget (80 millions d'euros annuel au niveau du département).
Nous assistons, dans nos campagnes, à la dégradation de nos voies de circulation, à la difficulté, particuliers et agriculteurs à les traverser chaque jour, uniquement du fait de la densification du traffic (voitures et camions). Chaque communue a une responsbilité importante dans ses choix d'urbanisation et une action coordonnée au niveau du territoire est indispensable. Des axes de travail sont entrepris dans ce sens et il faut continuer.
On assiste à des bouchons quotidiens au niveau du périphérique, de cheviré, de bouguenais, de bouaye. Où sont les bus collectifs et trams-trains avec des rotations rapides pour desservir ce bassin d'emploi principal (83%) ? Cette perte de temps est importante pour les travailleurs dont l'amplitude horaire s'étend. Les familles sont également mise à contribution. Le constat que nous faisons, c'est que chaque année, riverains du pays de retz, nous perdons 15 min le matin. Aujourd'hui, il faut y être à 7h. Les bouffées d'airs sont certains mercredis, les vacances scolaires et estivales quand le traffic s'allège. Je ne compte pas les bouchons du soir... Pouvons-nous organiser le travail de certaines professions de manière différente ? J'y crois et j'espère beaucoup la fin des migrations aux portes de la métropôle. A mon niveau, j'ai cessé d'aller travailler sur la métropôle car difficile d'assurer à son patron d'arriver à l'heure à mon poste en ayant pourtant prévu une marge de sécurité. J'ai fait des concessions importantes. Les efforts doivent être concentrés là où sont les problèmes de traffic.
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