Inventons la route de demain
#LAroutedemain Pour des déplacements partagés, sécurisés et durables
Afin de sécuriser les déplacements doux, et d'inciter les gens à se déplacer autrement, il serait intéressant de créer des voies de déplacements doux réservées uniquement à cet usage.
En effet, se déplacer en vélo, en trottinette, à pied, en skate, etc... n'est pas toujours possible en raison de la dangerosité que cela engendre en se mêlant au trafic automobile.
Créons donc des routes douces, des "vraies" pistes cyclables, en longues distances !
En effet, se déplacer en vélo, en trottinette, à pied, en skate, etc... n'est pas toujours possible en raison de la dangerosité que cela engendre en se mêlant au trafic automobile.
Créons donc des routes douces, des "vraies" pistes cyclables, en longues distances !
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Conversation avec Axel Bergeron Pornic
Dans beaucoup de pays souvent cités en exemple en matière de sécurité routière (Europe du Nord notamment) il n'est nul besoin de créer des voies dédiées à tel ou tel mode de déplacement, il suffit d'une voie suffisamment large, sans séparateur, sans discrimination.
La diminution de la largeur de certaines voies en France, à la mode actuellement, est financée par des fonds publics et aboutit à des effets négatifs de toutes sortes: paralysie des véhicules de secours et d'urgence, tension nerveuse généralisée de tous les pilotes et passagers génératrice d'accidents sur place ou différés, pollution augmentée, accidents directement dus à une largeur insuffisante (exemple: 11 02 2016, matin, Charente, Rochefort, avenue Victor Louis Bachelar, six lycéens morts décapités car le chauffeur de leur autocar scolaire n'a pu éviter le choc avec un poids lourd de gabarit anormal arrivant en sens inverse, l'ancien ministre des transports Dominique Bussereau a reconnu cela à 13 h sur France Inter).
L'idée n'est pas de réduire les voies existantes, mais de créer cela là ou l'espace le permet, et où des projets d'aménagements sont en cours ou à venir (comme par exemple le passage en 2x2 voies sur l'axe Pornic-Nantes).
Il n'est pas question de discrimination mais de sécurité et de santé publique, car nous sommes en France et non dans les pays nordiques, et aujourd'hui, rouler en vélo n'est pas chose aisée et sécurisée.
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