Nantes-Pornic : concertation continue
#nantespornic Après la concertation préalable en 2020, la concertation continue !
NANTES pornic ou et developpement de l axe vers les pays de retz
se peut-il que pour atténuer les impacts environnementaux, il y ait en parallèle, ou plus rapidement que 2035 à priori, un rétablissement des lignes de trains jusque St Brevin?
Ne serait-ce pas une manière peut être plus rapide, donc, de répondre à la fluidité de circulation espérée de Nantes vers la cote ? (train de nantes à Pornic tel que actuellement, complété largement pour aller à Préfailles, la plaine/mer, tharon, st michel et st brevin)
l'effet post covid, fait migrer une population vers la cote, plus rapidement qu'imaginé, les indicateurs en immobilier sont des révélateurs précieux pour percevoir les besoins de circulation entre nantes
La démarche de concertation pouvait elle imaginer une crise sanitaire ? à priori non, pour autant, n’y a-t-il pas une nouvelle urgence à une adaptabilité nécessaire face aux modes de vies modifiés par cette crise ?
bien à vous
Réponse :
Voici la réponse du Département :
Des travaux de rénovation/sécurisation ont déjà été effectués en 2009-2010 et 2014-2015 sur la voie ferroviaire Nantes-Pornic / Nantes-Saint-Gilles, la Région Pays-de-Loire n’envisageant pas de nouvelle intervention. Par ailleurs le développement capacitaire de cette ligne est contraint par les caractéristiques de celle-ci (une seule voie). Le potentiel d’augmentation du nombre quotidien d’aller-retours est par conséquent limité.
Enfin, un éventuel prolongement de ligne jusqu’à Saint-Brévin-les-Pins, en passant par Préfailles, La Plaine-sur-Mer, Tharon, Saint-Michel n’est pas à l’ordre du jour.
Quant aux effets post-covid, il reste difficile d’anticiper dans quelle mesure ils affecteront les comportements de déplacement sur le long terme. Cependant, pour ses prospectives de trafics, le CEREMA qui a travaillé pour le Département, a pris en compte des hypothèses de mobilité plus sobres qu’aujourd’hui, conformément aux objectifs fixés par la stratégie nationale bas carbone : évolution vers des modes de transport plus propres, baisse de l’usage de la voiture individuelle (usage du vélo et des transports en commun, développement continu du covoiturage), augmentation du télétravail, … Ces hypothèses conduisent à un niveau de trafic à l’horizon 2035 plus modéré que dans un scénario « fil de l’eau ».
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