Projet d'aménagement du port de La Turballe
#PortLaTurballe (Nouvelle fenêtre) Participez à l’avenir du port
Retour sur la commission spécifique du 24 septembre 2019 !
Une commission spécifique s'est tenue le mardi 24 septembre 2019, sur la thématique des "flux en phase travaux". Retrouvez :
- Le support projeté (Nouvelle fenêtre) et le compte-rendu (Nouvelle fenêtre) de la quatrième commission spécifique sur la thématique "flux en phase travaux".
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7 commentaires
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Conversation avec ADSPLT
Pendant les travaux sur la digue , il est indispensable d'installer une base de vie. Celle-ci sera sur le parking Phaidra, logique. Quelle sera son emprise au sol ? Où sera-t-elle placée?
Bonjour @Glabou, la base vie sera probablement située sur le parking Phaidra en effet. L’emprise sera définie au cours des phases d’études à venir.
Conversation avec immig
En page 4, vous parlez d'installer une centrale à béton sur La Marjolaine, cette zone naturelle et humide est entourée de beaucoup d'habitations, vous pensez la détruire? (pour quelques mois de travaux); polluer l'air et l'eau, et exténuer les habitants avec des nuisances sonores . Il me semble qu'un autre lieu, loin des habitations doit exister...en sortie de bourg par exemple..
Bonjour @niky,
Merci pour votre remarque. Nous avons effectivement étudié le site de la Marjolaine, au même titre que d’autres, en raison de son potentiel de surface disponible pour accueillir une zone de préfabrication des blocs en béton constitutifs de la carapace de la digue. Ces sites ont été présentés à la commission consultative locale du 24 septembre dernier pour recueillir ses avis et remarques.
Il s’avère, à la suite d’une analyse plus approfondie, que ce site présente un certain nombre de caractéristiques, que vous avez justement identifiés, qui nous ont donc rapidement conduit à l’écarter.
Nous envisageons, désormais, de préfabriquer les blocs en béton sur l’extrémité de l’aire de réparation navale puis sur le futur terre-plein obtenu par extension de la digue.
Conversation avec REISSER
Bonjour,
vous prévoyez un terrain pour la préfabrication des blocs artificiels et précisez que les approvisionnements sont plus chers et plus aléatoires par voie maritime.
L'approvisionnement par voie terrestre verra une fréquence d'un camion toutes le 15mn et 2 ou 3 mn en heure de pointe.
A cela s'ajoutera le trafic normal des camions vers le port. Habitant rue Garlahy, on nous promet de bons moments.
Je constate une nouvelle fois que l'aspect environnemental et humain passe après l'aspect économique. Où va notre planète, qu'en restera-t-il pour nos enfants et petits enfants ?
Bonjour @Reisser,
Nous sommes tout à fait conscient des contraintes imposées par les choix techniques d’aménagement. Néanmoins, nous travaillons à limiter ces contraintes par des compromis constructifs acceptables pour le projet. Ainsi, nous limiterons strictement les enrochements naturels à la partie visible de la digue notamment par le réemploi maximisé des blocs existants sur l’actuel ouvrage qui sera déconstruit. De plus, la carapace de la digue dans sa partie visible depuis la mer sera préférentiellement constituée de blocs en béton préfabriqués sur site. Malgré tout cela, l’apport de matériaux neufs restera nécessaire.
Dans le cadre des marchés de travaux nous accorderons une grande importance aux propositions qui optimiseraient les transport de matériaux. Dans ce contexte, nous étudierons avec intérêt toutes propositions d’approvisionnement qui limiteront le trafic routier.
En complément à la question précédente, nous vous interrogeons sur l'acheminement des enrochements naturels et des matériaux destinés à la centrale à béton au regard des voies terrestres disponibles et des impacts qu'elles subiront (voisinage, dégradation matérielle des chaussées et des réseaux sous-terrains ...)
Approximativement quel volume, quel tonnage, quels camions avec quelle fréquence ?
Merci
Jean-Max Estay pour l'association Vert Pays Blanc et Noir
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