Inventons la route de demain
#LAroutedemain Pour des déplacements partagés, sécurisés et durables
Sécuriser collectivement nos déplacements
La sécurité est la première préoccupation des habitant·e·s de Loire-Atlantique en matière de mobilités. Continuer à réduire le nombre d’accidents et sensibiliser les usagers sur les comportements responsables à adopter sur les routes est un objectif qui nous concerne toutes et tous.
Pour lutter contre l’insécurité routière, faites part de vos idées !
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8 commentaires
Pour sécuriser les routes, il faudrait les entretenir, réparer les nids de poules
il faudrait entretenir les pistes cyclabes, qui bien souvent en périphérie des routes, sont soit abîmées, soit recouvertes de végétations.
Continuer à supprimer les intersections sur les axes primaires.
Sécuriser collectivement nos déplacements passe bien évidemment par un effort individuel de prendre, ou non, "l'autre" en compte lorsque l'on emprunte la route mais à terme cette sécurisation passera par une gestion informatisée du parc automobile telle que les constructeurs sont déjà en train de mettre en place comme les radars anti-collision assisté au freinage automatique par exemple.
Conversation avec garnier
securiser les routes : supprimer les priorites a droite, ne pas mettre des bretelles a 30km/h pour entrer sur une 4voies, mettre des traits blancs centraux sur les petites routes
changer le comportement des conducteurs et faire des rappels de code de la route : distance de securité, ne pas se rabattre trop tot apres un depassement (surtout quand il pleut), comment circuler sur un giratoire = pleins de regles que les gens oublient ou non jamais apprises
Je suis d’accord avec vous sur l’idée de faire des rappels formateurs sur les comportements de sécurité.
En revanche, vos propositions de sécuriser la route me surprennent :
- les intersections à priorité à droite ne sont pas les plus dangereuses ; certes elles sont moins nombreuses ;
- la bretelle d’entrée à 30km/h : cette limitation de vitesse est due à la configuration de la bretelle (grande courbe). Mais pas de confusion entre bretelle et voie d’accélération ; la pleine accélération ne se prend que sur cette voie d’accélération, pas avant, et que lorsque le conducteur est certain que les conditions de circulation sur la chaussée principale sont favorables. Tant qu’elles ne le sont pas, il s’agit de stabiliser l’allure pour parcourir le moins possible de distance sur cette voie d’accélération, voire ralentir, au pire des cas voire s’arrêter. Oui... c’est l’arrêt au bout de la voie qui est une erreur, pas le ralenti ou l’arrêt à mi-distance.
S'équiper de simulateurs, si possible mobiles, pour faire prendre conscience, lors de séances, du comportement dangereux de certains, de vérifier les connaissances et aptitudes notamment de personnes d'un âge avancé et faire de la prévention.
L’usage de la voie publique avec quelque moyen de locomotion que ce soit (y compris la marche à pied) est une activité qui requiert en permanence une attention et une application de sport de haut niveau. Chaque usager de la voie publique doit avoir les capacités requises pour s’y trouver et doit se comporter en soldat, en combattant au service de la sécurité routière.
Sur la voie publique, chacun doit mener sa personne, son véhicule, ses animaux, de manière raisonnable, prudente, adaptée à ses propres capacités et à l’environnement, à une vitesse qui assure sa propre sécurité et celle des autres usagers de la voie publique. Les différents paramètres d’un déplacement quelconque sur la voie publique font l’objet d’une adaptation permanente.
Pour toute personne se trouvant sur la voie publique il ne saurait être question de la moindre ingestion, préalable ou concomitante, d’alcool ou de substance vénéneuse sous quelque forme que ce soit.
Chacun doit être formé et se former en conséquence.
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